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14/04/2013

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 9/04/2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

9/04/2013

VICKY RODOLPHE BURGER CHANTE POUR UN DRAKKAR « Une hache viking du neuvième siècle »

 

VICKY
RODOLPHE BURGER CHANTE POUR UN DRAKKAR
« Une hache viking du neuvième siècle »

(5’06’’)


Rodolphe Burger raconte la légende à l'origine de la chanson "Vicky". Radio Burger : en résidence au studio d'ARTE Radio, Rodolphe Burger propose des versions acoustiques dépouillées de son répertoire, qu'il éclaire par une brève introduction.


Enregistrements : 10-12 septembre 12, 16 janvier 13
Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch
Assistant réalisation : Léo Spiritof
Voix : Léna Burger
Texte, musique & voix : Rodolphe Burger

12/04/2013

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 05/04/2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 

05/04/2013

11/04/2013

YVES JAMAIT ET DANIEL FERNANDEZ au "CÔTE ROCHER" DE ROCAMADOUR le 6 SEPTEMBRE 2012

 

YVES JAMAIT ET DANIEL FERNANDEZ 

au "CÔTE ROCHER" DE ROCAMADOUR

le 6 SEPTEMBRE 2012

 

 " Yves Jamait invite Daniel Fernandez. "

Enfin, c'est ce que signale l'affichage qui présente l'événement. Formation intimiste aussi, est-il suggéré. Peut-être, mais tellement porteuse de chaleur communicative...

En tout cas sur scène, c’était bien le cas ce soir là!

Superbement entouré de Didier Grebot aux percussions, de Samuel Garcia à l’accordéon et bien évidemment, comme il est indiqué, de Daniel Fernandez à la guitare, l'instant Jamait était prometteur.  

La complicité évidente avec Fernandez est bien la colonne vertébrale de la prestation fournie sous la forme d'un judicieux assemblage de chansons, parmis les plus connues de Jamait, de celles de Daniel Fernandez, agrémenté de quelques notes d’humour bienvenus.

Yves et ses camarades nous a présenté ce soir-là un spectacle de grande et intense qualité.


10/04/2013

GEORGES FOUREST : " LES POISSONS MELOMANES "

 

GEORGES FOUREST 

" LES POISSONS MELOMANES "

 

Poème de Georges FOUREST

Lu par Nicolas LORMEAU

 

La Négresse blonde, 1909 © José Corti

 

Né le 6 avril 1867 à Limoges, Georges FOUREST suit des études de droit. Il se qualifie ensuite d’"avocat loin de la cour d’appel", comme il aime à se nommer. Il vient à Paris, où il fréquente les milieux littéraires symbolistes et décadents, collabore à plusieurs revues (La Connaissance, Le Décadent) et se rend célèbre avec La Négresse blonde (Messein, 1909, rééd. Corti 1986), préfacé par Willy, et placé sous le patronage de Rabelais. Georges Fourest fera encore paraître Contes pour les satyres (Messein, 1923, rééd. Corti, 1990) et le Géranium ovipare (Corti, 1935, réé. 1984), qui respirent une même atmosphère ludique et lubrique. Il meurt à Paris le 25 janvier 1945. Après une période de désaffection, il est peu à peu redécouvert à mesure que se manifeste un regain d’intérêt pour la littérature 1900.    


« Georges Fourest était un poète français à la verve parodique et irrévérencieuse, jouant avec truculence de mots rares ou cocasses, des dissonances de ton, de l’imprévu verbal et métrique, des effets burlesques.

Quand j’ai connu Georges Fourest, il était dans la soixantaine et déjà célèbre. Il ne ressemblait pas plus à l’idée qu’un lecteur de La Négresse blonde pouvait se faire de lui que le Gracq qu’on imaginait au moment de la publication du Château d’Argol ne ressemblait au Gracq réel. Le poète, qui époustouflait les foules et rêvait d’un enterrement délirant, était un homme tout à fait posé et – sauf quand à Deauville il portait veste blanche et casquette de yachtman – vêtu de la classique et déjà désuète jaquette et coiffé du melon dont le règne touchait aussi à sa fin. Il avait l’air bonhomme d’un chef de bureau de ministère. Il n’en avait pas moins écrit La Négresse blonde pour son plaisir et le nôtre. Littérairement, ce livre singulier n’appartient à aucune école, sauf la fourestière, comme dit l’à-peu-près de Willy. Il y a des gens qui deviennent célèbres à force de travail, ou de constance, ou d’acharnement ; qui entassent Pélion sur Ossa jusqu’à forcer l’attention. À Fourest, la célébrité était venue, d’un coup, après une incubation et maturation des plus lentes, le jour où il avait fait paraître sa Négresse. Il y aura bientôt soixante ans que le succès de ce petit livre se maintient avec une aimable régularité, et trente qu’elle est entré chez moi, après des années de vagabondage, tantôt chez l’un, tantôt chez l’autre. »

 

José CORTI, Souvenirs désordonnés

ÉTAT DES LIEUX RATTRAPER LES JEUNES PAR LA CAPUCHE « Entraînés à faire les conneries des grands »

 

ÉTAT DES LIEUX
RATTRAPER LES JEUNES PAR LA CAPUCHE
« Entraînés à faire les conneries des grands »

(12’48’’)


Des jeunes traînent dans les rues. Trop âgés pour l'Aide sociale à l'enfance (ASE), trop jeunes pour toucher le RSA. Leur enfance s'est passée en foyer ou en famille d'accueil. Leurs seuls repères : la gare de Metz, le squat et le Point accueil écoute jeunes (Paej). Là, des éducateurs tentent de les retenir «par la capuche». Pour les empêcher de sombrer dans la marginalité ou la délinquance. Pendant un an, Claire Hauter et Samuel Hirsch ont suivi ce travail et ces jeunes. 1. En guise de prologue, un état des lieux : qui sont les jeunes de la rue ? qui s'en occupe ?


Enregistrements : décembre 11-février 13
Entretiens : Claire Hauter
Prises de son, musique & mixage : Samuel Hirsch
Réalisation : Claire Hauter & Samuel Hirsch

09/04/2013

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 02/04/2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 

02/04/2013

AMSTERDAM : Woz KALY et Emmanuel PRIBYS aux TROIS MAILLETZ

 

AMSTERDAM 

Woz KALY et Emmanuel PRIBYS

Aux TROIS MAILLETZ

 

Clémence Bollet et SPADEUS Studio présentent Woz Kaly et Emmanuel Pribys qui chantent Amsterdam de Jacques Brel au cabaret Les Trois Mailletz ( 56 rue Galande Paris 5ème ). Extrait du film "Soif d'Idéal"

08/04/2013

HUBERT VOIGNIER " LES HAUTES HERBES " (5/5)

 

HUBERT VOIGNIER 

" LES HAUTES HERBES "

   (5/5)

 

 

« Jamais je ne côtoie ces champs d’herbes… »

(les poèmes ne portent pas de titres, il s'agit des premiers mots indiqués ici entre guillemets)

 

Lu par Michel FAVORY

 

Poème extrait du recueil Les hautes herbes, Cheyne éditeur, 2004, réed. 2011

 

Né en 1964 à Lyon, Hubert Voignier a publié quatre livres à Cheyne dans la collection Grands fonds (Suites terrestres, 1991, Paysages, encore et autres petits contes, 2003, Le Débat solitaire, 2006 et Le Morateur, 2008). Et deux autres titres chez Deyrolle : Paysages, en 1994, et Les Hauts Plateaux, en 1996. Collaboration aux revues Théodore Balmoral, Verso, L’Atelier contemporain (n°2, 2000 / n°7, 2003), les Heures.

 


Extraits choisis par Laurence COURTOIS

Prise de son, montage : Julien DOUMENC et Pierre HENRY

Réalisation : Michel SIDOROFF

Assistante à la réalisation : Laure-Hélène PLANCHET

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 01/04/2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 

01/04/2013

07/04/2013

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 29.03.2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

29.03.2013

HUBERT VOIGNIER : " LES HAUTES HERBES " 3/5

 

HUBERT VOIGNIER 

" LES HAUTES HERBES " 

3/5

 

« Des premières tiges argentines et frêles… »

(les poèmes ne portent pas de titres, il s'agit des premiers mots indiqués ici entre guillemets)

 

Lu par Clément HERVIEU-LEGER

 

Poème extrait du recueil Les hautes herbes, Cheyne éditeur, 2004, réed. 2011

 

Né en 1964 à Lyon, Hubert VOIGNIER a publié quatre livres à Cheyne dans la collection Grands fonds (Suites terrestres, 1991, Paysages, encore et autres petits contes, 2003, Le Débat solitaire, 2006 et Le Morateur, 2008). Et deux autres titres chez Deyrolle : Paysages, en 1994, et Les Hauts Plateaux, en 1996. Collaboration aux revues Théodore Balmoral, Verso, L’Atelier contemporain (n°2, 2000 / n°7, 2003), les Heures.

 

Extraits choisis par Laurence COURTOIS

Prise de son, montage : Julien DOUMENC et Pierre HENRY

Réalisation : Michel SIDOROFF

Assistante à la réalisation : Laure-Hélène PLANCHET